Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait jouxtant la radio. Il avait passé l'obscurité à se rappeler une faille dans le message agréé, à démonter mentalement tout élément de la transmission. Le pseudonyme évidemment était le sien, inébranlable d’un code qu’il avait noté sur la couverture du https://jeffreyeujvi.blogerus.com/56098958/le-nombre-froid