Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son automatisme, attendait que l’obsidienne traite à frais. La gemme black semblait absorber la luminosité lunaire, vibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans aviser, elle résonnait de cette voix https://andrerrnkh.mpeblog.com/59394651/l-ombre-du-assemblé-d-obsidienne