Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa domicile, bâtie de pierre et de propos taciturne, exhalait vivement une odeur d’herbes https://codyrxzab.blogaritma.com/31894832/le-fusée-sous-la-cendre-de-voyance